top of page

Un lauréat de la mémoire

à la Providence

Le 8 juin dernier, le préfet de l’Aisne, Nicolas Basselier, a remis dans les salons de la Préfecture le prix du concours national de la Résistance et de la Déportation aux lauréats 2015-2016. Parmi eux, un laonnois, Timothy Lamarque.
Le C.N.R.D. (Concours National de la Résistance et de la Déportation)  est organisé dans tous les établissements de France à partir de la 3ème jusqu’à la Terminale. Pour le seul département de l’Aisne, ils étaient près de 1000 participants, dont le  jeune laonnois Timothy Lamarque, élève de première au lycée de La Providence. Ce dernier a fini 4ème en individuel avec son devoir de quatre pages sur le thème de cette année : « Résister par l’art et la littérature ». Créé en avril 1961, à l’initiative du ministre de l’éducation nationale de l’époque, Lucien Paye, le concours a pour mission de perpétuer la mémoire du sombre passé qu’ont connu les français sous la domination nazi à l’époque de la 2nd Guerre Mondiale. Mais aussi de permettre aux jeunes générations participantes de s’inspirer des leçons du passé pour leur vie quotidienne.

                                                                                                                                                    

Interview du résistant Dutel :
 

Pouvez-vous vous présenter ?
M.Dutel : Je suis colonel honoraire de l’armée française, et professeur certifié honoraire de l’éducation nationale. J’ai fait deux carrières, de 23 ans et demi chacune.
Je suis grand croix de l’ordre national du mérite, et grand officier de la légion d’honneur. Mais je me considère surtout comme un fils du peuple, qui doit tout à l’école française.

Quel est la valeur pour vous du prix que vous avez remis aujourd’hui ?
D : Le prix que j’ai remis aujourd’hui pour moi c’est une tranche de ma jeunesse qui revient en surface, j’avais 20 ans en 1940. J’ai vécu toutes ces années de feu à mon corps défendant. J’ai eu beaucoup de chance et je suis heureux de voir que des jeunes

s’y intéressent.

Que faisiez-vous à cette période ?
D : J’étais d’abord enseignant à Beauvais, dans

l’Oise, pendant toute la guerre. J’ai rejoins la 

résistance, ce qui m’a fait me livrer à des

opérations qui ne sont pas toujours

recommandables…

Mais qui sont nécessaires ?
D : La résistance c’est une affaire qui a eu une

réussite stratégique formidable mais qui sur le plan

tactique a était vraiment meurtrière, il ne faut pas

oublier que sur 2% de la population qui ont fait de

la résistance active avant le débarquement plus de

la moitié ont été soit  fusillés soit déportés.  Cela n’a pas été une plaisanterie…

Comment avez-vous été abordé par la résistance ?
D : Ça c’est le hasard le plus total. En esprit on étaient  tous résistants mais ont avaient pas intérêt à aller chatouiller les occupants, par conséquent pour entrer dans la résistance c’est une série de petits hasards qui vous faisaient embarquer dans l’aventure avant même de vous être rendu compte.

Après la résistance ça devient quelque chose d’habituelle ?
D : Quand vous entrer dans l’aventure vous continuez, on n’a pas pour habitude de capituler devant l’obstacle, puis il y a la camaraderie, les dangers courus ensemble, les insuccès, les douleurs. Tout ça additionné forme un ensemble qui nous rassemble et encore aujourd’hui, on est content de se retrouver les quelques survivants de cette aventure.

Qu’est ce que vous donneriez comme message à cette jeunesse par ces temps difficiles ?
D : A cette jeunesse je dirais que vous ne trouverez de solutions que par le travail. Travaillez, faites bien ce que vous faites et vous vous sortirez de toutes les situations les plus difficiles. Nous sommes en temps de paix, tachons d’y rester le plus longtemps possible. Et j’ajouterai en temps que vieux monsieur : aidez- vous les uns les autres, car il n’y a que dans l’amitié des prochains qu’il y a des satisfactions.


 

Interview du préfet de l’Aisne :
 

Monsieur le préfet depuis combien de temps êtes vous en fonction pour le département de l’Aisne ?
Nicolas Basselier : 1 mois, je ne connaissais pas avant le département de l’Aisne, et donc je m’emploi en un minimum de temps à rencontrer un maximum de personnes et à m’imprégner des réalités de mon département.

 

Avant, où vous étiez ?
N.B : J’ai beaucoup voyagé comme la plupart

de mes collègues, mon dernier port c’était dans le

Loir-et-Cher, avant j’ai fait d’autres départements.
 

Comment abordez-vous le territoire de l’Aisne ?
N.B :
Depuis 1 mois je le sillonne en tout sens,

je vais à la rencontre de ses acteurs, je prend

connaissance  des dossiers

pour en mesurer des enjeux et faire en

sorte que les services de l’état soit aux cotés des

acteurs du territoire pour favoriser la réalisation de

leurs projets, les aider aussi à surmonter les

difficultés auxquelles ils sont parfois confrontés.
 

Une cérémonie comme celle-ci avec toute cette jeunesse c’est important pour vous ?
N.B : C’est fondamental, c’est un moment de joie de constater que nos enfants puisque les collégiens qui sont là aujourd’hui ont l’âge des miens, sont fidèles à la mémoire de celles et ceux qui se sont battus pour la libération de notre pays et pour la lutte contre l’oppression. Et à une époque où il est facile de dire que les jeunes d’aujourd’hui ont du mal à s’investir, le concours est une preuve pour dire que ce n’est pas vrai.


 

Augustin Milliere

  • Facebook Social Icon
  • Twitter Social Icon
  • Google+ Social Icon
  • Pinterest Social Icon
  • Instagram Social Icon
  • Facebook Social Icon
  • Twitter Social Icon
  • Google+ Social Icon
  • Pinterest Social Icon
  • Instagram Social Icon
Timothy Lamarque
Colonel Dutel
Nicolas Basselier, prêfet de l'Aisne

Les dramaturges de l’Apocalypse

​

 

L’Apocalypse a bien eu lieu, c’était le 1er juin sur la scène de la Maison des Jeunes et de la Culture de Laon.

Le mercredi 1er juin a eu lieu le spectacle du club de théâtre de La Providence, mis en scène par les élèves de seconde, première et terminale et leur professeur, Caroline Erdman. La première partie du spectacle avec son thème sur l’apocalypse, a dû surprendre plus d’un parent, plutôt habitués à voir leurs enfants jouer dans des comédies ! Les élèves des trois classes ont donc joué deux scènes relatant la mort d’une femme dans un tsunami. Les élèves ont ensuite donné corps au témoignage d’une jeune fille qui a survécu à un accident de bus en Inde. Une tragédie hélas banale dans ce pays. Après un intermède musical pendant lequel les élèves ont récité un poème d’un auteur local sur la guerre 14/18, nouveau levé de rideau sur une seconde partie portant sur trois scènes tirées de la pièce Cendrillon de Joël Pommerat. Cette année, une douzaine d’élèves s’est inscrite pour ces cours du vendredi soir à la Maison des Jeunes et de la Culture l’Escal, de 16h à 18h. Cependant les horaires devraient changer l’année prochaine afin de permettre aux élèves de finir leur journée un peu plus tôt.

​

​

​

Anna Milhiet

Le sport, eux ils adorent !

Après le football et la natation, les élèves de la Providence pourront dès la rentrée perfectionner leur service, avec l'ouverture de la toute nouvelle section sportive tennis.

​

​

Créées en 2004, les sections sportives football et natation ont pour but de former et faire progresser des jeunes adolescents de 11 à 14 ans dans leur passion. La section football est encadrée par le professeur de sport Patrick Tutin. Les entraînements se déroulent les mardi et vendredi de 15h30 à 17h45 au stade Marcel Levindrey. Cette section a réussi à se qualifier pour les championnat de France à Lorient en 2012/2013 en terminant 7eme puis en 2014/2015 à Bondues avec une honorable 4ème place. Cette section sportive est en partenariat avec le club de l'US Laon.

La section natation est gérée par Isabelle Mangin et Mathieu Sevaux du club F.C Laon Natation. Les élèves nagent les mardi et vendredi de 15h30 à 17h15. Les entraînements ont lieu au Dôme, lieu de rassemblement des passionnés de tout type de nage. Des élèves émérites ont participé au championnat de France.

A la rentrée prochaine, les élèves du lycée pourront également profiter des enseignements des professionnels s'occupant de la toute nouvelle section tennis, en partenariat avec le club de tennis de Vivaise, commune proche de la ville de Laon.

 

 

 

Clarence Huck                                                        Valentin Hivet                                                                         Louis Maillart

  • Facebook Social Icon
  • Twitter Social Icon
  • Google+ Social Icon
  • Pinterest Social Icon
  • Instagram Social Icon

​

​

​

La Providence lance son premier bal de fin d’année.  Le 24 juin, de 18h à minuit, tenue de soirée exigée !

 « Nous  voulons encourager les projets des lycéens », annonce Natacha Modestini, responsable pédagogique du lycée. En effet, cette année encore, ils ont voulu répondre au souhait des lycéens d’avoir un bal de fin d’année. Côté organisation, ce sont les terminales du Bureau des Lycéens, qui ont organisé les festivités. Au programme : apéro musical, repas et animations avec un DJ. « Nous avons beaucoup aimé travailler sur ce projet. Nous avions un budget très conséquent grâce aux ventes effectuées au bureau des lycéens », témoigne Manon Fontaine. Côté « guest », l’enthousiasme est à son comble. « C’est un super projet : une bonne manière de passer une dernière soirée avec ses amis », affirme un élève de terminale. Alors prêt à vous rendre à votre premier « Prom » ?

Let’s go to prom !

 

Elise Rassemont

​

​

​

​

​​

Paola Tokannou

  • Facebook Social Icon
  • Twitter Social Icon
  • Google+ Social Icon
  • Pinterest Social Icon
  • Instagram Social Icon

​

Le lycéen Valentin Hivet est un jeune axonais de 15 ans. Sa particularité ?  Son emploi du temps ! A côté de ses traditionnelles heures de cours au lycée La Providence à Laon, il arrive à trouver le temps pour ses deux passions : le judo et le foot. Et son palmarès parle pour lui : champion de Picardie/Aisne de kata au judo deux années de suite,  champion de Hauts de France de football en équipe et 4ème du  championnat de France U.G.S.E.L. Portrait du champion.

 

Quels sports pratiques-tu et depuis quand ?

Valentin Hivet : Je pratique le foot depuis mes 8 ans et le judo depuis que j’ai 4 ans et demi.

​

Pourquoi as-tu choisi de pratiquer le judo ?

V.H. : Au début, j’hésitais entre l’escrime et le judo et vu que j’avais un petit club près de chez moi, j’ai essayé puis j’ai accroché. 

 

En quoi les valeurs du judo (amitié, modestie, contrôle de soi, courage, respect) influencent-elles ta vie quotidienne, ton rapport aux gens ?

V.H. : Je suis le même sur le tatami et en dehors, j’applique ces valeurs au quotidien, j’essaie de les respecter au maximum. 

 

A quel championnat as-tu participé concernant le judo ? Et le foot ?

V.H. : Au judo : j’ai fait le championnat de l’Aisne, championnat de Picardie en combat, championnat de l’Aisne, championnat de Picardie kata, puis différentes compétitions comme celle de Vitry-le-François, j’ai participé à deux championnats de France par équipe avec l’équipe de l’Aisne minime et un championnat de France U.G.S.E.L.

Au foot : Avant j’ai joué en excellence de mon département, on a fait deux finales départementales de futsal, et maintenant on est en final de coupe de l’Aisne. Concernant la section sportive avec la Providence, nous sommes champions de l’Aisne, champions de Picardie, champions inter-région puis 4ème au championnat de France. 

​

A quel poste te trouves-tu au foot ?

V.H. : Je joue 6 ou 8ème en tant que milieu récupérateur. 

​

Y-a-t-il un sport que tu préfères dans ceux que tu pratiques ?

V.H. : Non, après cela dépend des années. Si je gagne au judo, je vais préférer le judo et de même pour le foot.

 

Est-ce que tu vois ton avenir dans le milieu sportif

professionnel ?

V.H. : Oui, en tant que kinésithérapeute dans le milieu

sportif. Je vais faire mon stage de cette année auprès

du kiné de l’équipe d’Amiens SC- qui monte en Ligue 2

l’année prochaine-, et il est aussi le kiné de l’équipe de

France de natation. 

 

Vers quelles études te diriges-tu ?

V.H. : Je me dirige vers un Bac S, ensuite S.T.A.P.S. ou

1ère année de médecine ou encore  PREPA kiné, à

Reims ou Lille. Après je ferai une école de kiné

normalement à Lille parce qu’il n’y en a pas à Reims. 

 

Comment arrives-tu à gérer ton planning en tant qu’étudiant ?

V.H. : 1 heure d’étude entre deux cours, le midi au CDI… je travaille dès que j’ai du temps libre parce que je sais que le soir j’ai entrainement, soit judo soit foot. Et de toute façon je sais que mes parents privilégient l’école au sport. 

 

As-tu des loisirs ou des passions en dehors du foot et du judo ?

V.H. : Pas vraiment. Il y a juste le soir quand je rentre chez moi où je regarde la télé, généralement je regarde soit un film soit l’Equipe 21, voir les infos s’il y a un événement particulier. 

 

Aurais-tu des conseils pour ceux qui souhaiteraient avoir ton parcours ?

V.H. : L’entrainement. Se concentrer un maximum sur le sport, ne rien lâcher, c’est beaucoup de sacrifices mais c’est un choix. 

 

                                                                                                                 

Un champion multi-sports

  • Facebook Social Icon
  • Twitter Social Icon
  • Google+ Social Icon
  • Pinterest Social Icon
  • Instagram Social Icon

Propos recueillis par :

Augustin Milliere

La fête de la musique approche, l’occasion de partir à la découverte  d’un instrument original, la flûte traversière.

​

Peu le savent mais la flûte traversière est un des plus vieux instruments de musique de toute l’humanité ! Instrument à vent de la famille des bois, généralement en métal et rarement en bois, elle arrive en France probablement par l’intermédiaire de Byzance et des pays Slaves au XVIIème siècle. Elle est utilisée dans les orchestres, les ensembles à vent et les formations de jazz pour sa sonorité brillante et argentine. Elle est avec le piccolo, le seul instrument de l’orchestre dont on joue en biseau sur l’embouchure. De Mozart à Jethro Tull, la flûte traversière séduit de nombreux virtuoses encore aujourd’hui :Jean-Pierre Rampal, Maxence Larrieu, Michel Debost, et Christian Lardé pour la France. Le 21 juin à l’occasion de la fête de la musique à Laon, le conservatoire de musique la mettra à l’honneur avec un concert composé d’ensembles différant jouant des morceaux de divers univers, aussi bien classique que contemporain.

       

                                                                   

 

                                                                   Laetitia Pichard

​

Un instrument dans le vent

  • Facebook Social Icon
  • Twitter Social Icon
  • Google+ Social Icon
  • Pinterest Social Icon
  • Instagram Social Icon

La Providence fait peau neuve

Cet été, le premier coup de pelle du chantier de rénovation de l’établissement sera donné. Les élèves reconnaitront-ils leur lycée à la rentrée ?

​

Pendant que les élèves seront tranquillement en vacances, le lycée la Providence ne chômera pas. Il profitera du calme avant la rentrée pour entamer son grand chantier de rénovation prévu sur 4 ans. Ces travaux-  s’élevant à 3 millions d’euros- permettront d’améliorer l’espace de vie des 450 élèves et 40 personnels. Mais également de se mettre aux normes en ce qui concerne l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite. « Cela va se traduire par l’installation de deux ascenseurs, la mise aux normes des rampes et des sanitaires », précise Natacha Modestini, responsable du lycée. Ces travaux vont transformer les salles du premier étage en deux grands laboratoires de physique chimie avec un nouvel équipement  accompagné d’ordinateurs.

 

                

 

        Sophie Dupuis

​

 

Le deuxième étage de l’établissement fera place à une nouvelle salle de musique, technologie et d’art plastique pour l’année prochaine, l’ancien CDI lui sera ré-agencé en salle des professeurs. Le nouveau CDI lui migrera en rez-de-chaussée. Le personnel ne sera pas en reste avec la création d’un pôle administratif qui rassemblera le secrétariat et le bureau du chef d’établissement. Le foyer sera également repensé  en cafétéria, dans laquelle les aménagements seront multiples. De plus les collégiens pourront  profiter d’un nouveau foyer situé en dessous du gymnase et une salle dédiée aux casiers  à l’entrée. La Providence va donc subir un rajeunissement considérable qui devrait plaire aux élèves, anciens comme nouveaux.

​

            

     Clarisse Drocourt                                              

  • Facebook Social Icon
  • Twitter Social Icon
  • Google+ Social Icon
  • Pinterest Social Icon
  • Instagram Social Icon

Apprendre le Français, quel périple !

Je m’appelle Karry (Chao-Yuan Shen),  j’ai 17 ans et je viens de Taiwan. J’ai un grand frère Frank de 19 ans, il fait comme moi un échange d’élève en France pendant un an. Mes parents se nomment May et Jim, ils sont commerçants à Taiwan. Ils me manquent tous beaucoup. Cette année en France, j’ai habité chaque trimestre dans une famille différente. La première famille m’ayant accueillit est la famille Vernier, ensuite j’ai été dans la famille Leneveu et enfin dans la famille Grabaski.

Je suis venu en France, à Laon dans l’établissement de la Providence pour y  apprendre le  Français et suivre le quotidien de mes familles. C’était compliqué les premiers jours pour communiquer avec les autres élèves, maintenant cela m’est plus facile. Au début de l’année, j’ai passé beaucoup d’heures de cours à dormir sur ma table et à dessiner sur mes cahiers car je ne comprenais pas. J’ai pu me faire de nouveaux amis comme Paola, Baptiste, Anna, Ronan et Nicolas sans oublier Jules un élève de terminale. Ce dernier a passé une année à Taiwan, ce qui m’a permis une meilleure communication dans les débuts.

​

J’apprécie le lycée en France pour ses horaires qui me permettent de prendre plus de temps pour moi et aussi parce que j’ai la possibilité de choisir mes options,  contrairement à mon lycée à Taiwan. Cependant j’ai remarqué une différence d’effectif entre la Providence et mon lycée. En effet, à la Providence il ya 450 élèves contre 2000 dans le mien. Il y a aussi une différence vestimentaire puisque ici les élèves ont la liberté de s’habiller comme il le souhaite, contrairement à nous qui sommes obligés de porter un uniforme.

Quand à mon meilleur souvenir de cette année, c’est le jour où mon affiche fut accrochée pour les portes ouvertes. J’ai pu visiter la ville de Laon, je l’ai beaucoup apprécié pour son Histoire et ses vieilles bâtisses. Je trouve que les habitants de Laon sont des personnes accueillantes et agréables. Cela me plairait de revenir ici avec ma famille juste le temps d’un petit séjour.

A Taiwan durant mon temps libre j’avais l’habitude de sortir entre amis, regarder des films et cuisiner…. Je suis content car en France j’ai découvert une pâtisserie qui m’a beaucoup plut : le macaron. 

 

 

                                                     

Propos recueillis par:
Laetitia Pichard
 Clarisse Drocourt
  • Facebook Social Icon
  • Twitter Social Icon
  • Google+ Social Icon
  • Pinterest Social Icon
  • Instagram Social Icon
bottom of page