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Overwatch, un FPS qui réinvente les codes du genre 

​Quelques semaines après sa sortie, le nouvel opus de Blizzard est un succès unanime. Retour sur le phénomène Overwatch.

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9,7 millions. C’est le nombre de joueurs à travers le monde qui ont testé sur PC, PS4 et Xbox One, la version bêta du nouvel Overwatch de Blizzard. Les chiffres concernant sa sortie officielle le 24 mai dernier, viennent eux aussi de tomber et ils sont pour le moins surprenants… En effet, 7 millions de joueurs ont réuni 119 millions d'heures de jeu. Bon nombre de joueurs (en Chine déjà  1500) ont déjà été bannis pour « cheat » (tricherie). « Au cours des mois et des semaines qui ont précédé sa sortie, Overwatch a reçu beaucoup de témoignages d’affection et de soutien, que ce soit de la part des joueurs Blizzard, des amateurs de FPS ou de gens n’ayant jamais eu entre les mains un tel jeu. Et nous sommes plus que reconnaissants pour toute cette passion et cet enthousiasme incroyable. […] Nous nous sommes énormément investis dans le développement d’un jeu et la création d’un nouvel univers », témoigne Mike Morhaime, PDG et cofondateur de Blizzard Entertainment.

 

Un prix élevé que ne rebute pas les joueurs

 

Jeu d'action en vue à la première personne, Overwatch prend place dans un futur proche, en 2074 pour être exact. Ce jeu de tir en équipe innovant, à l'univers extrêmement riche et profond, est jugé révolutionnaire par de nombreux joueurs. Il lie en effet,  First Person Shooter et Multiplayer online battle arena.

Avec Overwatch, l'entreprise californienne Blizzard a décidé de s'attaquer au genre du FPS, qu’il avait jusque là  ignoré.  Sur jeuxvideo.com la note est de 16.3 malgré un coût qui s’élève à 60€.  De bons résultats qui vont dans le sens des critiques de nombreux joueurs. « Overwatch est probablement la raison pour laquelle je voulais venir à la Gamescom cette année. Depuis son annonce à la Blizzcon 2014 avec une magnifique bande-annonce dont Blizzard a le secret, je n’ai eu qu’une envie, c’est de mettre la main dessus. Les multiples vidéos de gameplay et les nombreux héros présentés, possédant tous cette touche Blizzard si particulière et efficace, n’ont fait que renforcer mon impatience », conclut Benjamin Gautier, joueur addict.

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                        Aramayis                                     Tanguy

                        Gharibyan                                    Mouton

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Pokémon : le retour de la licence mythique !

Nintendo va bientôt sortir le nouvel opus de l’une de ses licences phares : Pokémon, avec la génération Sun et Moon. Mais que valent donc ces deux nouveaux jeux ?

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Fébrilité chez les fans de Pokémon. Le 26 février, 20 ans après la sortie du tout premier opus, a été annoncée  la nouvelle génération du J-RPG (jeu de rôle japonais) développée par Game Freak. Les jaquettes ont été dévoilées à peine 3 mois plus tard. Cependant, les joueurs devront encore patienter jusqu’au 23 novembre pour enfin découvrir Pokémon Sun et Moon, exclusivement sur 3DS. Les nouveaux jeux vont se dérouler dans une nouvelle région nommée « Alola », symbolisant les îles d’Hawaï. Aux côtés des légendaires Lunala et Solgaleo, cette 7ème génération proposera trois nouveaux starters : Brindibou pour le type plante Flamiaou pour le feu et Otaquin pour l’eau. Toutes ces créatures vont donc s’ajouter à la liste déjà bien remplie des 721 pokémons actuels.

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A chacun son avatar

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Ces jeux proposeront aux joueurs la personnalisation de leur avatar, avec notamment le choix du sexe, du visage, ainsi que du look vestimentaire. Cet argument suffira t’il à battre le record de vente de la première génération qui était de 30 millions d’exemplaires, soit 12% des ventes totales de la licence ? «Nous avons fait un retour sur 20 ans de Pokémon mais nous devons à présent regarder devant nous, vers le futur » a annoncé Tsunekazu Ishihara, le président de The Pokémon Company. Avec cette génération, nous allons probablement voir l’apparition de nombreux produits dérivés tels que de nouvelles cartes à jouer, une nouvelle saison du célèbre dessin animé qui met en scène le dresseur Sacha et son Pikachu ainsi que moult goodies. Alors, bon combat face aux meilleurs dresseurs de la Ligue ! Et surtout: ATTRAPEZ-LES TOUS !!!

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Odilon Cabanel                                                               Nicolas Pichard

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Les mangas, de Z à A.

Du 7 au 10 juillet, la Japan Expo revient pour une 17ème édition. 250 000 amateurs de mangas sont attendus au parc des expositions de la Porte de Versailles à Paris.

 

One Piece, Fairy Tail, Naruto, l'Attaque des Titans et Bleach… autant de mangas aujourd'hui cultes, adulés dans de nombreux pays. Et la France n'échappe pas à la règle. Elle est le 2e plus gros consommateur mondial de mangas depuis le début des années 2000. Ils représentent plus de 40% des ventes de bandes dessinées dans l'hexagone. Comment expliquer un tel succès ? Les jeunes de la fin des années 80 se rappellent certainement du club Dorothée, une émission qui a diffusé des dessins animés japonais en masse. Certains ont mêmes été sources de polémiques, comme Ken le Survivant, jugé trop violent. Dans les années 90, les albums prennent le relais de la diffusion des mangas. De plus, avec la mort de nombreux grand maîtres de la BD franco-belge, Franquin et Peyo en particulier, les maisons d'éditions se sont tournées vers la nouveauté que représentaient les mangas.

 

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“La France est un pays de révolutions où se produisent de grands bouleversements. Les histoires américaines où les bons l’emportent systématiquement sur les méchants laissent les Français quelque peu sur leur faim”, poursuit Motoichi Takemoto, fondateur du légendaire magazine Le Cri qui tue, premier titre français consacré aux mangas, sorti en 1978. C’est lui qui a fait découvrir aux amateurs de BD francophones “une culture insolite venue d’Extrême-Orient” en publiant des œuvres comme celles d’Osamu Tezuka, Shotaro Ishinomori et Fujio Akazuka.

Il existe différentes catégories de mangas allant du Shonen (manga pour jeune garçon) au Seinen (manga pour jeune adulte) en passant par le shojo (jeune fille). Ce dernier avec ses histoires d'amour- de la plus clichée à la plus complexe -, a attiré de plus en plus de lectrices dans le monde du manga, très masculin à l'origine.

En bref, le manga a suffisement de potentiel pour plaire à tous les âges et tous les genres.

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Ronan Le Goff                                                                             Nicolas Courtonne

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