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Le Lycée Le Paraclet organise un « forum santé » le 22 mars prochain au Socio de 9h à 16h30.  Si vous ne le connaissez pas encore très bien c’est normal puisqu’il s’agit de la deuxieme édition. Son objectif est de « faire connaitre aux élèves les différentes structures de prévention santé. Le but est de permettre à tous, élèves comme enseignants, de puiser des informations sur les différents thèmes santé », explique Nathalie Dick , infirmière du lycée Le Paraclet. Au cours de ce forum, vous pourrez  participer à une vingtaine d’ateliers et découvrir les différents stands animés par plusieurs  associations à l’image de la BPDJ (brigade prévention de la délinquance juvénille) , le CIS animations (centre information santé) et bien d’autres… L’occasion d’aborder des sujets de sociéte aussi variés que celui du handicap, de l’addictologie , du  bien être ou encore de l’homophobie. Alors le 22 mars on se donne rendez-vous au Socio, seuls ou accompagnés de vos professeurs,  pour  faire  le plein de santé !

Antonin CHIVET  & Théo CHARPIOT

Si tu veux la forme…il faut que tu t’informes !

Une soirée lumineuse !

 

« C’était une grande soirée fun, et haute en couleur ! », témoignait Chloë Gosselin. La première soirée Fluo de l’année, organisée par l’ALESA (l'Association des Lycéens, Etudiants, Stagiaires et Apprentis), a réuni en effet, plus de 150 élèves ce Jeudi 17 Mars. De 20h à minuit, ils ont pu danser sur les samples du dj d’Agri Move. Ouverte à tous les élèves du Paraclet, l’entrée était gratuite. Pour cette soirée, les « Paraclesiens » ayant respecté le thème sont venus habillés en fluo et l’ALESA a distribué des gadgets pour plus de fête ! (bracelets fluo, peintures fluo…). Vivement la prochaine édition.

Nicolas De Baëre et Elise Peiffer

 

Chasser les préjugés

A l’occasion de la fermeture de la chasse, il y a 3 semaines, redécouvrons une passion qui peut être parfois une source de conflit entre les chasseurs et non-chasseurs.

 

La fermeture de la chasse a eu lieu le dimanche 28 février. Cela a été un soulagement pour les écologistes, les cavaliers et les promeneurs. Pour éviter tous conflits, L’office national de la chasse et de la faune sauvage (l’ONC) a rappelé les règles de sécurité et de « vivre-ensemble ». Malgré les idées reçues, les chasseurs sont en effet, soumis à plusieurs règles bien précises et strictes pour éviter tout accident. Cependant, les promeneurs reprochent aux chasseurs de les empêcher de profiter de la nature et de les mettre en danger. On recense 23 accidents pour la saison 2015. Néanmoins il faut prendre en compte que sur ces 23 personnes, seule une personne non chasseur a été tué. La majorité des accidents se passe donc entre chasseur.1,5 millions de Français pratiquent la chasseL’ONC dispense aussi auprès des chasseurs des formations de sécurité qui ont permis de réduire les accidents mortels, ces derniers passant de 39 en 2000, à 14 en 2014.

1.5 millions de chasseurs 

Bien qu’accusée d’être un danger, la chasse reste une passion pour 1,5 millions de Français. Ces derniers la décrivent comme une activité qui allie l’amour de la nature et des animaux. Bien évidemment, tous les chasseurs n’ont pas les mêmes valeurs, certains tombant dans les extrêmes. La chasse des animaux est régulée. A chaque fin de saison un « comptage du gibier » est fais. Il se fait généralement un mois après la fermeture de la chasse et consiste à compter le nombre de chaque espèce sur le territoire. En fonction des résultats, la fédération de chasse donne le nombre de gibier que l’on peut tuer la saison suivante. La chasse n’a donc pas pour but de déséquilibrer l’écosystème. Des chasseurs font aussi en sorte de réimplanter une espèce dans leur territoire lorsque celle-ci devient plus faible. Un véritable chasseur voudra prendre soin de la nature...

A chacun son dressage!

 

Eloïse Cocher et Luc Caudron, élèves de 2ndeB, passionnés tous les deux d’equitation en particulier le dressage vont confronter leurs points de vue.

 

Luc Caudron :  Moi j’aime bien le dressage en compétition, je trouve que ça apporte beaucoup d’adrénaline.

Eloïse Cocher :  Au contraire, moi je préfère le dressage de spectacle car je trouve que l’on a plus de complicité avec son cheval et qu’il faut vraiment être en harmonie avec son compagnon, avoir une confiance mutuelle.

LC :  Je suis d’accord avec toi , mais pour les gens la compétition c’est juste monter sur son cheval et c’est tout , alors que pas du tout , la veille du concours , on prend soin de lui , on le brosse , le longe pour le détendre , on est également complice avec lui , et moi personnellement je ne pars pas en concours tous les week-ends.

EC : Vous vous en occupez peut être la veille mais pas tous et le reste du temps vous avez des grooms qui s’en occupent, alors que pour le spectacle il faut de la patience et que ce soit vraiment le cavalier qui s’en occupe pour que le cheval offre toute la magie, la légèreté qu’il possède. Il faut lui apprendre les figures soit même pour avoir une réelle complicité, une confiance.

LC :  En compétition nous partons à plusieurs.  Je partage le cheval avec ma cousine, quand je me prépare c’est elle qui se charge de notre destrier et quand c’est à son tour d’entrer en piste c’est nous, moi et la propriétaire de Lazul qui nous en occupons. Nous on vit le concours avec notre monture et avec passion ou rien d’autre !  Le spectacle c’est bien mais ça doit devenir lassant, non ?

 

 

 

EC :  Non, car en spectacle on peut toujours innover, évoluer et on est en continuel apprentissage. Avec chaque cheval c’est différent, on vit dans une aventure sans fin qui nous fait progresser sans cesse.

LC :  En fait on se dispute mais nos deux sortes de dressage sont aussi bien l’une que l’autre !

EC :  Dans les deux cas, il faut une complicité, une confiance et il faut aimer son cheval. On est comme chien et chat on se dispute, on se chamaille mais au fond on a le même but et la même envie. Et on aime autant l’un que l’autre notre discipline c’est ça qui est le plus important.

 

Luc CAUDRON

Eloïse COCHER

Tu TREC ou tu TREC pas ?

 

 

Les prochains championnats de France de TREC junior et amateur commencerons cet été en Auvergne et réuniront près d’une centaine de participants. L’occasion de découvrir cette discipline qui fait de plus en plus d’adeptes.


En 1980, quelque part dans une forêt de France, un groupe de cavalier part en balade : « On s’embête là quand même !
- Et si on s’amusait un peu, une petite compète avec les moyens du bord ? - Tu veux dire ici, dans les bois avec des troncs, des fossés et des branches partout ??
- Oui c’est ça ! Une sorte de randonnée équestre avec des obstacles ! »
C’est à peu près ainsi que le TREC est né. En anglais, le mot « trek » signifie « randonnée » et en arabe « chemin », mais l’origine de l’acronyme TREC est bien française. Cette Technique de Randonnée Equestre en Compétition consiste en une balade équestre en forêt avec des obstacles naturels (tronc d’arbre, fossé…). En équipe ou en individuel, le TREC se pratique tout au long de l’année, à partir du niveau du galop 2 ou en épreuve poney pour les moins de 10 ans. « Ce qui est bien dans le TREC c’est les exercices plutôt ludiques et la course d’orientation qui renforcent la complicité du cavalier et du cheval, témoigne Méline Bonneau, lycéenne pratiquant le TREC. S’il n’y a pas encore beaucoup de pratiquants, cette discipline est entrain de se développer ».

Méline Bonneau et Camille Faihy

Ils sont fous, ces secondes B !

 

 « Ils sont fous, ces Terriens ! » n’est pas une nouvelle émission de télé mais un livre écrit par des élèves de 2nde B au lycée du Paraclet en 2016. Une œuvre commune et individuelle pour le plaisir d’écrire. Interview d’Isabelle Barayre, professeur de français des 2nde B instigatrice de ce projet.

 

 

Pourriez-vous présenter le projet ?

Isabelle Barayre : Le projet initial était d’écrire une nouvelle ou un roman pour des 4èmes qui n’aiment pas lire. Cet ouvrage est au final un conte philosophique composé des textes de chaque élève. Avec ce livre, les élèves ont pu participer à toute la chaîne de conception d’un ouvrage. Les prénoms des personnages ont été choisis par les élèves.

 

Pourquoi concevoir un livre ?

Isabelle Barayre : Pour créer une dynamique entre les élèves, conserver une diversité des styles malgré l’histoire. L’idée de publication est arrivée en février après la lecture des textes.

 

Avez-vous eu cette idée parce que vous êtes vous-même écrivaine ?

Isabelle Barayre : Oui, ça m’a donné l’idée de ce projet.  Il ne faut pas écrire seul mais à plusieurs pour partager  le projet.

 

Pourquoi avoir choisi notre classe ?

Isabelle Barayre : Il fallait une classe avec beaucoup d’heures de Français. De plus, j’ai ressentie que cette classe avait un potentiel de création.

 

Pourquoi ce titre « Ils sont fous, ces Terriens ! » ?

Isabelle Barayre : Pour avoir un sujet en relation avec la nature vu que l’on se trouve dans un lycée de la nature et du vivant. Plusieurs thèmes abordés dans d’autres disciplines avec un regard sur l’extérieur de la planète. Aussi parce que le titre est drôle, naïf et ironique.

Léa Gence et Ninon Beller

Attention, dangers sur le net

 

Le 22 mars dernier, un gendarme de la BPDJ d’Amiens est intervenu dans la classe des 2ndeB pour parler des dangers sur internet. Il a tout d’abord mis en garde les élèves contre les dangers que peuvent représenter les réseaux sociaux. Pédophilie, piratage, escroquerie…cet espace public regorge de personnes ayant des intentions malsaines. Il faut faire attention à ne pas dévoiler des informations trop privées. Toutes publications, photos, commentaires… n’appartiennent désormais plus a celui qui l’a posté. Le gendarme a également abordé le harcèlement, car des personnes mal intentionnées peuvent se servir de nos publications pour nous demander de l’argent ou nous humilier par exemple. Internet n’est pas une zone de non droit. Tout internaute qui commet des infractions risques différentes peines allant d’un simple avertissement jusqu’à des peines de prison. 

Les exploitantes gagnent du terrain

 

Même si elles restent moins nombreuses que les hommes, les femmes n’hésitent plus à tenir les rênes d’une exploitation agricole. Zoom sur une tendance forte.

 

 

Aujourd’hui on a pu observer que plus le temps passe, plus on retrouve des femmes à la tête des exploitations agricoles. En effet, le nombre d’exploitations dirigées par des femmes passent de 8% en 1970 à 27% en 2010. Une augmentation liée à l’évolution des mentalités, les femmes n’étant plus cantonnées aux tâches quotidiennes. Désormais, elles sont 635 000 et représentent 37 % des salariés agricoles. ¾ d’entre-elles sont mariées avec des agriculteurs et doivent dès lors concilier vie familiale et vie professionnelle. En moyenne, les agricultrices possèdent moins d’hectares que les hommes (38 ha contre 52 ha pour les hommes) et sont plus spécialisées dans l’élevage.

 

Evolution des moeurs

 

Ne nous y trompons pas, le travail des femmes a toujours été très présent dans les fermes et a même souvent occupé une place indispensable dans les exploitations familiales. Les agricultrices et exploitantes deviennent  plus visibles  alors qu’elles n’étaient par le passé que déclarées en tant qu’aide familiale ou étaient des travailleuses invisibles. Cela n’est pas qu’une question d’étiquette, ça signifie qu’elles accèdent aux protections sociales et au droit à la retraite.

 

Un métier difficile et pénible physiquement ?

 

L’agriculture n’est pas épargnée par les stéréotypes. Souvent on n’imagine pas une femme seule chef d’exploitation agricole car c’est assez pénible physiquement. La réalité montre qu’elles réussissent très bien à gérer ces contraintes. Les hommes sont au moins deux fois plus concernés par des accidents du travail que les femmes,  tandis que les femmes déclarent un petit peu plus souvent des maladies professionnelles.

 

 http://agriculture.gouv.fr/quelle-est-la-place-des-femmes-dans-lagriculture-francaise

http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/26/2312407-pour-vero-l-amour-du-metier-est-dans-le-pre.html

 

 BRUYER Léa et BOUTON Sophie

UNE SEMAINE POUR CREER

La classe de seconde B a eu la chance de pouvoir participer à une intervention photo, vidéo et création d’article du 15 au 31 mars 2016.  A cette occasion, les élèves ont pu publier leurs productions sur le site. Les interventions se sont déroulées sur une durée de 30 heures découpées en plusieurs séances. Les élèves se sont répartis en plusieurs groupes qui ont tourné sur les différentes activités. Ils ont choisi eux même le thème sur lequel ils voulaient travailler. Pour les aider à mener leurs projets à bien, trois intervenants sont venus partager leurs connaissances au mois de mars. Les lycéens ont eu le privilège de tourner eux même leurs interviews ainsi que de prendre des photos avec du matériel de professionnel. C’est eux qui ont inventé les scénarios, les questions pour les interviews.

 

Pour les vidéos, un groupe a travaillé sur l’alcool, la discrimination, d’autre ont interviewé des associations au forum santé, des questions ont été posé au vacher pendant la traite, les organisateurs de la soirée fluo ont été interrogés pour expliquer le déroulement de la soirée. Un autre groupe a recrée la journée type d’un élève interne dans une vidéo. Les élèves ayant écrit un livre avec leur professeur de français, se sont questionnés eux même sur leur livre, ce qui a fait l’objet d’une vidéo. Ils ont ensuite participé au montage de certaines vidéos comme l’interview du vacher ou crée un bêtisier des coulisses.

 

Les groupes ont également travaillé sur des photos en se prenant les uns les autres, en choisissant l’endroit, la lumière, les postures de chacun. Ils ont également pris des photos de chevaux du centre équestre ainsi que des vaches pour illustrer les articles des camarades.  Des élèves ont également pris des photos des compagnons qui étaient en train de travailler.

Les élèves ont appris à écrire des articles pour mettre sur un site. Ils ont choisi le sujet sur lequel ils voulaient travailler, cela pouvait aller de disciplines équestres jusqu’au jeu vidéo en passant par la chasse ou le harcèlement,  ils ont aussi écrit sur le forum santé ou sur leurs divers projets.

Ceux qui le souhaitaient ont pu participer à la mise en page du site sur lequel tous leurs travaux vont être publiés.

 

 

 

 

 

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